Des chats suspectés de tapage nocturne

Il est 20 h 45 : la police locale d’Iserlohn (au nord de l’Allemagne) reçoit plusieurs appels : Une très forte musique s’échappe d’un appartement situé en centre-ville. Des voisins se sont plaints. Une patrouille décide de se déplacer. Sur place, les agents constatent que le volume sonore est effectivement élevé, la musique s’entendant jusqu’au bout de la rue. Pas de réponse

Les fonctionnaires demande aux occupants des lieux de baisser le son, mais il ne reçoivent aucune réponse, rapporte la Süd DeutscheZeitung. Ils se renseignent alors sur les occupants des lieux : une femme. Ils décident d’appeler les hôpitaux du secteur pour s’’assurer que celle-ci n’est pas malade, blessé... ou pire. Rien. Les secours se dépéchés sur place ; la police enfonce la porte. Mais à l’intérieur du logement, il n’y a personne... sauf des chats

Une heure plus tard, la résidente des lieux arrive sur place. Surprise, pour ne pas dire choquée, elle répond aux questions des agents : et elle l’assure, elle a éteint la musique avant de partir.

Un clavier d’ordinateur

Des explications qui semblent convaincaintes. Les chats sont considérés comme les seuls fautifs potentiels donc. Ils avancent même un début d’explication : "Peut-être qu’un chat a appuyé sur le clavier de l’ordinateur portable avec ses pattes, et que cela a lancé la musique, avec le volume à fond…" Conclusion des agents : "Il vaut mieux toujours fermer le rabat de son ordinateur portable." Lequel était manifestement resté ouvert dans l’appartement.

L’occupante a tout de même dû régler une amende.